Re: stoquage de rc durant l hiver
Publié : 22 déc. 2011, 16:45
A tiens, on parle de moi par ici
Je vous livre ma recette pour les "runnables":
1) quand je suis au club, un coup de soufflette vite fait pour ne pas ramener de boue dans le sac, la voiture ou l'atelier.
2) je reviens à la maison ou une séance de soufflette sérieuse fini le travail avant de remiser le modèle sur l'étagère. C'est à ce moment, qu'il est impératif de ne pas laisser d'humidité dans/sur le modèle pour éviter la rouille.
3) au cours du temps, les modèles qui roulent ont rapidement besoin d'une réparation, d'un entretiens, ou d'une opération "d'optionage". C'est a ces occasions que :
- je m'occupe de passer des produits sur le châssis avec des chiffons imbibé d'alcool.... ménager, que je chasse les salissures dans les recoins avec coton-tige et cure-dents.
- je démonte plus que nécéssaire pour nettoyer plus profondément telle ou telle partie, mais jamais en entier
- et bien entendu, la règle est de ne jamais remonter une pièce sale (ça, je le fait sur le bord de la piste quant il faut bricoler entre deux manches ou deux packs pour les entrainements).
Si la combine fonctionne sans trop de dommages, c'est parce que je prends soins de valider l'étape 2 et de remiser les modèles dans un endroit qui n'est pas humide.
Il est arrivé que le nettoyage courant de retour à la maison ai été négligé... Dans ce cas, à partir du moment ou la rouille fait son apparition, c'est tout comme toi... démontage complet et remontage. Mais franchement, j'évite car comme j'ai peu de temps à accorder à mes modèles, il me faut bien une à deux semaine pour un cycle de démontage/remontage complet (évidemment, cela dépends de la complexité du modèle)
Dans l'absolu, je pense que la méthodologie de "l'ours fou" ci-dessus est la plus équilibrée.
A+
Bon, sans rire, pour mes RC "runnable", je suis a peine plus soigneux. Celles qui méritent l'étagère, c'est une autre histoire...Madbearz a écrit : J'ai certains collegue, pas comme nous, roule, les jette dans le placard, puis roule...etc.....sans aucun nettoyage. Le matos tiens quand meme.
C'est d'ailleurs un constat que j'ai fait a l'echelle 1 en travaillant en garage, le mec qui en a rien a secoué de sa caisse, revison quand il y pense, etc.....ben c'est lui qui a le moins de panne.....a comparé du gars qui en prend soin a mort....
Je vous livre ma recette pour les "runnables":
1) quand je suis au club, un coup de soufflette vite fait pour ne pas ramener de boue dans le sac, la voiture ou l'atelier.
2) je reviens à la maison ou une séance de soufflette sérieuse fini le travail avant de remiser le modèle sur l'étagère. C'est à ce moment, qu'il est impératif de ne pas laisser d'humidité dans/sur le modèle pour éviter la rouille.
3) au cours du temps, les modèles qui roulent ont rapidement besoin d'une réparation, d'un entretiens, ou d'une opération "d'optionage". C'est a ces occasions que :
- je m'occupe de passer des produits sur le châssis avec des chiffons imbibé d'alcool.... ménager, que je chasse les salissures dans les recoins avec coton-tige et cure-dents.
- je démonte plus que nécéssaire pour nettoyer plus profondément telle ou telle partie, mais jamais en entier
- et bien entendu, la règle est de ne jamais remonter une pièce sale (ça, je le fait sur le bord de la piste quant il faut bricoler entre deux manches ou deux packs pour les entrainements).
Si la combine fonctionne sans trop de dommages, c'est parce que je prends soins de valider l'étape 2 et de remiser les modèles dans un endroit qui n'est pas humide.
Il est arrivé que le nettoyage courant de retour à la maison ai été négligé... Dans ce cas, à partir du moment ou la rouille fait son apparition, c'est tout comme toi... démontage complet et remontage. Mais franchement, j'évite car comme j'ai peu de temps à accorder à mes modèles, il me faut bien une à deux semaine pour un cycle de démontage/remontage complet (évidemment, cela dépends de la complexité du modèle)
Dans l'absolu, je pense que la méthodologie de "l'ours fou" ci-dessus est la plus équilibrée.
A+