Mé heu , *utain de vis !
Publié : 29 mai 2009, 12:43
Le professeur Baltringue Junior, Directeur de notre département de "Research & Development" vient de publier une étude approfondie sur le comportement des vis lors d'une chute, affin de mieux comprendre cette situation très fréquente dans le milieux du montage et démontage de RC, qui irrite surtout par la capacité de ces p#**@& de petites vis, comme on les appelle dans notre jargon , à disparaître, à devenir invisibles !!! Car non ! Mesdames et Messieurs, ces p#**@& de petites vis ne se désintègrent absolument pô !
Définition : On appelle "chute de vis" toute situation dans laquelle une vis posée sur un objet ou une partie du corps humain (généralement le bout des doigts résultant de la rencontre de l'index et du pouce), tombe en direction du sol, sans forcément l'atteindre.
Comment arrivent les chutes de vis ? Dans 90% des cas, elles surviennent à cause d'une mauvaise tenue du tournevis, ou d'un tournevis pas adapté à la taille ou à la forme de la tête de la vis, mais peuvent aussi être le résultat d'une difficulté majeure à faire quelque chose avec ses mains, ou encore d'un événement extérieur qui capte l'attention de l'utilisateur.
Situation classique d'avant chute : Tournevis en équerre tordue dû à une maladresse naturelle ou distraction extérieure.... Cette configuration, précédant bon nombre de chutes de vis, se produit lorsque le tournevis n'est pas exactement perpendiculaire au plan de travail. La vis vexée par votre maladresse déclenche alors une situation de crise.
Que se passe-t-il alors ? Une fois que la vis a pris la décision de tomber, il n'y a plus rien à faire. Le petit objet métallique va d'abord se mettre à danser sur la surface de travail avant de s'éjecter comme l'éclair en dehors de votre champ de vision. Dans les milieux autorisés, on appelle cet instant la situation de crise. Le niveau de stress de l'utilisateur est alors à son comble. Tous ses sens sont en éveil.
Conseil malin : En pareille situation, il est alors fortement recommandé de fermer les yeux et de se concentrer sur l'ouîe. Car à cet instant précis, la vis devient invisible. Entendre le bruit de la chute vous renseignera assez précisément sur le lieu d'atterrissage.
L'atterrissage :
Une fois que la vis a finit sa gracieuse valse aérienne, elle finit par se poser délicatement quelque part. L'utilisateur sera alors confronté à l'une des deux situations suivantes :
1 - Un bruit retentit. La sonorité vous indique alors sur quel type de surface la vis est tombée et où.
2 - Le bruit ne retentit pas. La vis est tombée dans les pantoufles. Si ce n'est pas le cas, reportez-vous au chapitre "Désintégration Martienne".
Où vont les vis : Malgrès cette théorie séduisante sur le prédiction des rebonds, les vis suivent également leur instinct du moment pour modifier leur lieu d'atterrissage, comportement appelé aussi "Faire chier à la dernière seconde". Après 978 lâchés de vis de toutes marques et dans toutes les positions possibles, il en ressort des statistiques très précises....
Statistiques d'atterrissage : Réalisées d'après 978 lâchés effectués en situation réelle de montage d'une Tamiya Grasshopper.
Désintégration Martienne : Dans de très rares situations, (environ 3% des cas suivant nos statistiques), il arrive que la vis ne soit jamais retrouvée.... Mais alors jamais ! Même après retournement soigné de tous les meubles, et utilisation minutieuse de l'aimant, puis de l'aspirateur. Face à ces cas, et après observation de phénomènes lumineux étranges durant la chute des vis, il devient évident qu'il sagit en fait d'une attaque extra-terrestre destinée à diminuer notre potentiel technologique !
The trust isn't in here.
Définition : On appelle "chute de vis" toute situation dans laquelle une vis posée sur un objet ou une partie du corps humain (généralement le bout des doigts résultant de la rencontre de l'index et du pouce), tombe en direction du sol, sans forcément l'atteindre.
Comment arrivent les chutes de vis ? Dans 90% des cas, elles surviennent à cause d'une mauvaise tenue du tournevis, ou d'un tournevis pas adapté à la taille ou à la forme de la tête de la vis, mais peuvent aussi être le résultat d'une difficulté majeure à faire quelque chose avec ses mains, ou encore d'un événement extérieur qui capte l'attention de l'utilisateur.
Situation classique d'avant chute : Tournevis en équerre tordue dû à une maladresse naturelle ou distraction extérieure.... Cette configuration, précédant bon nombre de chutes de vis, se produit lorsque le tournevis n'est pas exactement perpendiculaire au plan de travail. La vis vexée par votre maladresse déclenche alors une situation de crise.
Que se passe-t-il alors ? Une fois que la vis a pris la décision de tomber, il n'y a plus rien à faire. Le petit objet métallique va d'abord se mettre à danser sur la surface de travail avant de s'éjecter comme l'éclair en dehors de votre champ de vision. Dans les milieux autorisés, on appelle cet instant la situation de crise. Le niveau de stress de l'utilisateur est alors à son comble. Tous ses sens sont en éveil.
Conseil malin : En pareille situation, il est alors fortement recommandé de fermer les yeux et de se concentrer sur l'ouîe. Car à cet instant précis, la vis devient invisible. Entendre le bruit de la chute vous renseignera assez précisément sur le lieu d'atterrissage.
L'atterrissage :
Une fois que la vis a finit sa gracieuse valse aérienne, elle finit par se poser délicatement quelque part. L'utilisateur sera alors confronté à l'une des deux situations suivantes :
1 - Un bruit retentit. La sonorité vous indique alors sur quel type de surface la vis est tombée et où.
2 - Le bruit ne retentit pas. La vis est tombée dans les pantoufles. Si ce n'est pas le cas, reportez-vous au chapitre "Désintégration Martienne".
Où vont les vis : Malgrès cette théorie séduisante sur le prédiction des rebonds, les vis suivent également leur instinct du moment pour modifier leur lieu d'atterrissage, comportement appelé aussi "Faire chier à la dernière seconde". Après 978 lâchés de vis de toutes marques et dans toutes les positions possibles, il en ressort des statistiques très précises....
Statistiques d'atterrissage : Réalisées d'après 978 lâchés effectués en situation réelle de montage d'une Tamiya Grasshopper.
Désintégration Martienne : Dans de très rares situations, (environ 3% des cas suivant nos statistiques), il arrive que la vis ne soit jamais retrouvée.... Mais alors jamais ! Même après retournement soigné de tous les meubles, et utilisation minutieuse de l'aimant, puis de l'aspirateur. Face à ces cas, et après observation de phénomènes lumineux étranges durant la chute des vis, il devient évident qu'il sagit en fait d'une attaque extra-terrestre destinée à diminuer notre potentiel technologique !
The trust isn't in here.