Opitma-inomane !
Publié : 08 avr. 2015, 17:39
Bonjour à tous,
J'ai craqué..25 ans (ça fait mal de compter) après avoir troqué pour une babiole ma Javelin durement gagnée (pourquoi, pourquoi ??? à l'image de l'affiche de Platoon). 2 minutes d'hésitation et de culpabilité d'adulte, une triple piquouze acoustique réchauffée des Beastie Boys pour se remettre d'aplomb, et je mis la main, le pied et le corps (à cet âge-là, tout à tendance à suivre) sur une Turbo Optima vintage 86 en assez bon état de momification.
Ayant trainé mes vieilles OT-66 sur presque tous les sites de la galaxie faisant une quelconque allégeance à Kyosho et ayant même tenté d'expliquer ma quête en franglaponais dans le fin fond du Pacifique, je réussi non sans mal à remplacer toutes pièces jugées "usées" (par un remarquable acte de mystification, 50% de la voiture en fait), c'est à dire, celles ne risquant pas de se tordre au contact d'ondes Raéliennes dispersées (bien connues par les spécialistes dans les configurations de présentoir sarcophage) ou celles ayant subi un sérieux mae-gueri Norris-ien tout droit sorti de Delta Force..1986.
Bien que longuement remonter le bouzin m’ait permis d'expliquer à ma chère épouse qu’un homme se devait de découvrir une jeunesse tout autre que celle des ambiances capitonnées, il me fallut défendre vigoureusement la bête des attaques répétées de mon tendre bambin. Hélas, en guise de paix, l’Optima lui fut promise à l’heure de sa majorité.
En regardant ma belle au bois nocturne, il me vint une prière finale adressée au Dieu du modélisme antique. L’Oracle ayant certes confessé un retour de l’Optima post-moderniste, je ne puis attendre plus longtemps dans ma quête de l’Optima « absolu »…Ainsi je vous le demande, avec une sincérité franche, et ces simples mots : OT-15, ou te trouves-tu ?
Bien à vous, et bien chez vous désormais.
J'ai craqué..25 ans (ça fait mal de compter) après avoir troqué pour une babiole ma Javelin durement gagnée (pourquoi, pourquoi ??? à l'image de l'affiche de Platoon). 2 minutes d'hésitation et de culpabilité d'adulte, une triple piquouze acoustique réchauffée des Beastie Boys pour se remettre d'aplomb, et je mis la main, le pied et le corps (à cet âge-là, tout à tendance à suivre) sur une Turbo Optima vintage 86 en assez bon état de momification.
Ayant trainé mes vieilles OT-66 sur presque tous les sites de la galaxie faisant une quelconque allégeance à Kyosho et ayant même tenté d'expliquer ma quête en franglaponais dans le fin fond du Pacifique, je réussi non sans mal à remplacer toutes pièces jugées "usées" (par un remarquable acte de mystification, 50% de la voiture en fait), c'est à dire, celles ne risquant pas de se tordre au contact d'ondes Raéliennes dispersées (bien connues par les spécialistes dans les configurations de présentoir sarcophage) ou celles ayant subi un sérieux mae-gueri Norris-ien tout droit sorti de Delta Force..1986.
Bien que longuement remonter le bouzin m’ait permis d'expliquer à ma chère épouse qu’un homme se devait de découvrir une jeunesse tout autre que celle des ambiances capitonnées, il me fallut défendre vigoureusement la bête des attaques répétées de mon tendre bambin. Hélas, en guise de paix, l’Optima lui fut promise à l’heure de sa majorité.
En regardant ma belle au bois nocturne, il me vint une prière finale adressée au Dieu du modélisme antique. L’Oracle ayant certes confessé un retour de l’Optima post-moderniste, je ne puis attendre plus longtemps dans ma quête de l’Optima « absolu »…Ainsi je vous le demande, avec une sincérité franche, et ces simples mots : OT-15, ou te trouves-tu ?
Bien à vous, et bien chez vous désormais.
