[TB01] Datsun 240Z Rally car.
Publié : 15 avr. 2012, 21:58
Depuis mes débuts en modélisme, je n’ai jamais eu d’engin à 4 roues motrices. Ce sera seulement….. 17 ans plus tard que j’ai pu en avoir un, et c’est un engin issu de ma fabrication personnelle ! A savoir un Ford Bronco 1973 scale à ponts de TLT-1 Tamiya, et ce n’est pas vraiment un engin de vitesse.
Cependant je garde en mémoire le comportement rassurant de l’engin grâce à sa transmission intégrale. Alors qu’est-ce que ça donnerait avec un engin plus typé « buggy » ? Et justement, il y a une discipline en pleine ébullition dont j’aimerais bien m’essayer, c’est le Rally RC. Nos voisins d’Europe de l’Est en ont fait une compétition et leurs vidéos postées sur Youtube montrent comment y jouer.
Dans une certaine mesure, je préfère ne pas faire comme eux, du moins pas autant qu’eux si c’était possible. Courir derrière ma voiture RC, je ne suis pas fan. Néanmoins, les voitures m’intéressent. Elles ont un aspect très réalistes et sont très performantes. Enfin, leur orientation « Rally » ne les destine pas exclusivement à une piste plane en bitume. Voilà pourquoi après avoir posé la question sur le forum Vintage RC pour savoir quel chassis prendre, mon choix s’est arrêté sur un TB01 de Tamiya.
Cependant, le projet ne s'est pas déroulé sans douleur.
Une légende nippone, la Z !
Pour habiller ce chassis, je me suis orienté vers la mythique Datsun 240Z. A la base, la Z a été conçue comme étant une voiture de type GT abordable et performante. Elle a remporté un succès phénoménal au Japon mais surtout aux Etats-Unis ! Le plus étonnant aura été sa transformation en une bête de rally. Sa participation à l’épreuve africaine où le terrain est réputé difficile et éprouvant pour la mécanique, se terminera par de nombreuses victoires dans toutes les catégories !
Aujourd’hui encore, on continue à faire rouler la 240Z dans des épreuves nationales ou lors des rally historiques. Et ça tombe bien car Tamiya propose la carrosserie de cette voiture pour ses chassis typés rally. Tamiya a particulièrement bien reproduit les lignes de la Datsun, et à mon sens le meilleur profil se situe de ¾ arrière. La courbure musclée des ailes arrière qui se prolonge jusqu’au capot interminable ne manque pas de charme et de sensualité, à l’image des Muscle Machines américaines et leurs silhouette inspirée de la bouteille de Coca.
Du coup, je vous montre la voiture qui m'a servi de modèle d'inspiration que j'ai trouvé sur le Net :
Cette voiture a été préparée en Angleterre. Comme vous pouvez le voir, elle est assez sobre et c'est ce qui me plaît.
Le TB01.
Après avoir reçu la carrosserie, l'habitacle et les roues, il me manquait le plus important : le chassis !
Et par quoi vais-je commencer ? De mes déboires avec la Poste ? Qu’elle n’a pas été foutue de me livrer le colis en temps et en heure ? Qu’elle l’a complètement perdu ? Car oui, c’est comme ça que l’histoire s’est terminée. Acheté d’occasion, le chassis TB01 appartenant à « nostalgique » (membre de Vintage RC) n’est jamais parvenu jusqu’à mon domicile. Au bout de seulement trois semaines, le service clientèle de Coliposte me suggère de contacter l’expéditeur pour qu’il fasse les démarches de dédommagement. Comme disait Mozinor dans sa parodie de la pub pour la Poste, « Où c’est qu’il est mon colis ? DANS TON C*L ! LA POSTE L’A PERDU ! MERCI LA POSTE !!! »
Suis-je énervé ? D’après vous ?
Donc, voyant la tournure que ça prenait, j’ai décidé d’aller sur eBay Allemagne pour dégoter un kit neuf, et vendu à un prix défiant toute concurrence. Une semaine plus tard, je me retrouve avec une Ferrari Enzo à la maison, livraison assurée par DHL, service très compétent et plus sérieux que Coliposte même si ce n’est pas le même tarif. Qu’importe, le résultat est là , la Poste a lamentablement échoué dans sa tâche (et là , je suis encore furax selon vous ?).
Sur le couvercle du packaging, Tamiya a indiqué comme quoi les roulements à billes et le variateur électronique sont fournis d’office. Tant mieux ! Mais je remplacerais tout de même le variateur par un modèle étanche. Quand je me lance dans un projet j’aime mieux me préparer comme il faut.
La carrosserie de la Ferrari Enzo ne m’intéresse pas. A mes yeux, c’est certainement la Ferrari la plus laide que j’ai pu voir jusque-là , au même titre que la 612 Scaglietti. Comme j’ai déjà ma carrosserie pour mon TB01, la Enzo et ses roues sont parties dans mes petites annonces.
A présent je vais plutôt vous parler des modifications que j’ai apporté au TB01. Ma carrosserie est plus courte au niveau de l’empattement de 6 mm, passant ainsi de 257 à 251 mm. Après avoir posé la question sur le forum de « tamiyaclub.com » avant même de recevoir le chassis, la solution retenue a été de mettre des entretoises de 3 mm dans tous les triangles pour parvenir aux 6mm de raccourcissement (chose que j’avais déjà faite sur mon M04 pour avoir un empattement de 210 mm).
Ce travail rendra unique le TB01 puisqu’il sera le seul à avoir un empattement raccourci. Cela devrait également permettre de rendre le chassis plus agile en virage mais moins stable en ligne droite.
Le raccourcissement de l'empattement ne s'est pas fait sans découpe supplémentaire. Concernant le train arrière, les triangles inférieurs de suspension touchent les nervures de rigidification du chassis. Charcutage obligatoire !
Du coup, ça passe mieux :
Et pour le train avant, là c'est toute la direction qui touche les triangles. Donc impossibilité de braquer les roues. La solution a été de découper le téton qui dépasse du triangle inférieur comme ceci.
Avant :
Et après :
Après tous ces efforts, voici le moment tant attendu du montage à blanc pour vérifier les bienfaits de son travail :
La motorisation.
Pour commencer, on va voir ce que donne le TB01 avec son RS540 d’origine. Il y a un radiateur en alu fourni dans le kit. Je me suis simplement contenté de faire un rodage dans du pétrole comme d’habitude.
Au sujet de la transmission, j'ai remplacé le cardan central par un modèle en carbone. L'intérêt se situe dans le gain de poids, donc gain d'inertie et d'autonomie. La différence est de 6 grammes d'après mes mesures.
L’installation radio.
Le servo de direction est un Futaba S3003 standard, accouplé à un variateur HPI SC15-WP fraîchement sorti. Il a l’avantage d’être étanche et il tolère les moteurs à charbons jusqu’à 15 tours. C’est largement suffisant pour une utilisation Rally car avec un bobinage aussi élevé, il sera impossible d’exploiter à fond les capacités d’un moteur pareil. Quant à la radio proprement dite, c’est une Futaba 3PL dont le récepteur a été placé dans un ballon de baudruche pour garantir son étanchéité. Les batteries seront de type NiMh, car le logement dans le chassis a été conçu de la sorte. Les LiPo peuvent rentrer à condition d’avoir la forme adéquate mais ce n’est pas vraiment donné.
Les roues.
Pour reproduire la voiture dont je m’inspire, il me fallait des jantes imitant les mythiques RS Watanabe, ou quelque chose d’approchant. Elles proviennent de chez Yokomo et de chez Speedworks pour le Drift. Quant aux pneus « Rally Block », ils sont de chez Tamiya.
Après essai, j’ai finalement monté mon chassis avec les jantes Yokomo pour leur déport (+ 4mm). Les Speedworks affleurent les ailes de la carrosserie (+ 5 mm).
La carrosserie.
Comme vous l’aurez vu, c’est sur la Datsun 240Z que j’ai jeté mon dévolu. Je l’ai reçu avant mon chassis, et vous savez pourquoi.
Passons à la phase de peinture où, pour une fois, je ne vais pas peindre par l’intérieur mais par l’extérieur. Le dessous sera peint en couleur cuivre, quand l’extérieur aura une première couche de blanc, puis de gris aluminium et enfin la couleur rouge métallisée et rouge translucide. La teinte finale n'aura rien à voir avec celle de la voiture inspiratrice mais je préfère ma "Z" dans cette couleur-là .
Les autocollants représentant les contours chromés des vitres ont été découpés pour retirer la partie teintée en noir des fenêtres latérales et la lunette arrière. En faisant ainsi, on peut alors apercevoir l’habitacle et son pilote. J’ai personnalisé la plaque d’immatriculation avec la planche conçue pour les Tamtech Gear au 1/14ème.
La finition. The Tony Truand’s Touch !
L’achèvement de mon TB01 se termine par l’habitacle et quelques détails esthétiques supplémentaires. Concernant le pilote, j’ai choisi un casque intégral à visière fermée, mais en modifiant la forme de la visière à coup de mastic de modélisme Tamiya (le fameux Putter gris). Je vous laisse deviner le nom du pilote…
Sachez que je vais bientôt changer d'habitacle pour un modèle dont le volant sera à droite. La raison est que les essuie-glaces fournis dans la planche d'autocollants sont des modèles prévus pour les conduites à droite. A moins d'avoir les mêmes autocollants dans l'autre sens, je ne vois pas comment faire autrement ?
Sous la carrosserie, j’ai fabriqué une coque en carte plastique pour dévier les projections en dehors du chassis. Cela rajoute un peu de poids, mais aussi un peu de réalisme au modèle notamment lors des prises de photos en statique. Après quoi, j'ai repeint en noir mat l'ensemble à l'aide d'un pinceau.
Enfin pour couronner le tout, la cerise sur le gâteau, des bavettes de roues ont été découpées dans un échantillon de matière souple appelée « géomembrane EPDM PRELASTI » de chez Cultisol.
Cependant je garde en mémoire le comportement rassurant de l’engin grâce à sa transmission intégrale. Alors qu’est-ce que ça donnerait avec un engin plus typé « buggy » ? Et justement, il y a une discipline en pleine ébullition dont j’aimerais bien m’essayer, c’est le Rally RC. Nos voisins d’Europe de l’Est en ont fait une compétition et leurs vidéos postées sur Youtube montrent comment y jouer.
Dans une certaine mesure, je préfère ne pas faire comme eux, du moins pas autant qu’eux si c’était possible. Courir derrière ma voiture RC, je ne suis pas fan. Néanmoins, les voitures m’intéressent. Elles ont un aspect très réalistes et sont très performantes. Enfin, leur orientation « Rally » ne les destine pas exclusivement à une piste plane en bitume. Voilà pourquoi après avoir posé la question sur le forum Vintage RC pour savoir quel chassis prendre, mon choix s’est arrêté sur un TB01 de Tamiya.
Cependant, le projet ne s'est pas déroulé sans douleur.
Une légende nippone, la Z !
Pour habiller ce chassis, je me suis orienté vers la mythique Datsun 240Z. A la base, la Z a été conçue comme étant une voiture de type GT abordable et performante. Elle a remporté un succès phénoménal au Japon mais surtout aux Etats-Unis ! Le plus étonnant aura été sa transformation en une bête de rally. Sa participation à l’épreuve africaine où le terrain est réputé difficile et éprouvant pour la mécanique, se terminera par de nombreuses victoires dans toutes les catégories !
Aujourd’hui encore, on continue à faire rouler la 240Z dans des épreuves nationales ou lors des rally historiques. Et ça tombe bien car Tamiya propose la carrosserie de cette voiture pour ses chassis typés rally. Tamiya a particulièrement bien reproduit les lignes de la Datsun, et à mon sens le meilleur profil se situe de ¾ arrière. La courbure musclée des ailes arrière qui se prolonge jusqu’au capot interminable ne manque pas de charme et de sensualité, à l’image des Muscle Machines américaines et leurs silhouette inspirée de la bouteille de Coca.
Du coup, je vous montre la voiture qui m'a servi de modèle d'inspiration que j'ai trouvé sur le Net :
Cette voiture a été préparée en Angleterre. Comme vous pouvez le voir, elle est assez sobre et c'est ce qui me plaît.
Le TB01.
Après avoir reçu la carrosserie, l'habitacle et les roues, il me manquait le plus important : le chassis !
Et par quoi vais-je commencer ? De mes déboires avec la Poste ? Qu’elle n’a pas été foutue de me livrer le colis en temps et en heure ? Qu’elle l’a complètement perdu ? Car oui, c’est comme ça que l’histoire s’est terminée. Acheté d’occasion, le chassis TB01 appartenant à « nostalgique » (membre de Vintage RC) n’est jamais parvenu jusqu’à mon domicile. Au bout de seulement trois semaines, le service clientèle de Coliposte me suggère de contacter l’expéditeur pour qu’il fasse les démarches de dédommagement. Comme disait Mozinor dans sa parodie de la pub pour la Poste, « Où c’est qu’il est mon colis ? DANS TON C*L ! LA POSTE L’A PERDU ! MERCI LA POSTE !!! »
Suis-je énervé ? D’après vous ?
Donc, voyant la tournure que ça prenait, j’ai décidé d’aller sur eBay Allemagne pour dégoter un kit neuf, et vendu à un prix défiant toute concurrence. Une semaine plus tard, je me retrouve avec une Ferrari Enzo à la maison, livraison assurée par DHL, service très compétent et plus sérieux que Coliposte même si ce n’est pas le même tarif. Qu’importe, le résultat est là , la Poste a lamentablement échoué dans sa tâche (et là , je suis encore furax selon vous ?).
Sur le couvercle du packaging, Tamiya a indiqué comme quoi les roulements à billes et le variateur électronique sont fournis d’office. Tant mieux ! Mais je remplacerais tout de même le variateur par un modèle étanche. Quand je me lance dans un projet j’aime mieux me préparer comme il faut.
La carrosserie de la Ferrari Enzo ne m’intéresse pas. A mes yeux, c’est certainement la Ferrari la plus laide que j’ai pu voir jusque-là , au même titre que la 612 Scaglietti. Comme j’ai déjà ma carrosserie pour mon TB01, la Enzo et ses roues sont parties dans mes petites annonces.
A présent je vais plutôt vous parler des modifications que j’ai apporté au TB01. Ma carrosserie est plus courte au niveau de l’empattement de 6 mm, passant ainsi de 257 à 251 mm. Après avoir posé la question sur le forum de « tamiyaclub.com » avant même de recevoir le chassis, la solution retenue a été de mettre des entretoises de 3 mm dans tous les triangles pour parvenir aux 6mm de raccourcissement (chose que j’avais déjà faite sur mon M04 pour avoir un empattement de 210 mm).
Ce travail rendra unique le TB01 puisqu’il sera le seul à avoir un empattement raccourci. Cela devrait également permettre de rendre le chassis plus agile en virage mais moins stable en ligne droite.
Le raccourcissement de l'empattement ne s'est pas fait sans découpe supplémentaire. Concernant le train arrière, les triangles inférieurs de suspension touchent les nervures de rigidification du chassis. Charcutage obligatoire !
Du coup, ça passe mieux :
Et pour le train avant, là c'est toute la direction qui touche les triangles. Donc impossibilité de braquer les roues. La solution a été de découper le téton qui dépasse du triangle inférieur comme ceci.
Avant :
Et après :
Après tous ces efforts, voici le moment tant attendu du montage à blanc pour vérifier les bienfaits de son travail :
La motorisation.
Pour commencer, on va voir ce que donne le TB01 avec son RS540 d’origine. Il y a un radiateur en alu fourni dans le kit. Je me suis simplement contenté de faire un rodage dans du pétrole comme d’habitude.
Au sujet de la transmission, j'ai remplacé le cardan central par un modèle en carbone. L'intérêt se situe dans le gain de poids, donc gain d'inertie et d'autonomie. La différence est de 6 grammes d'après mes mesures.
L’installation radio.
Le servo de direction est un Futaba S3003 standard, accouplé à un variateur HPI SC15-WP fraîchement sorti. Il a l’avantage d’être étanche et il tolère les moteurs à charbons jusqu’à 15 tours. C’est largement suffisant pour une utilisation Rally car avec un bobinage aussi élevé, il sera impossible d’exploiter à fond les capacités d’un moteur pareil. Quant à la radio proprement dite, c’est une Futaba 3PL dont le récepteur a été placé dans un ballon de baudruche pour garantir son étanchéité. Les batteries seront de type NiMh, car le logement dans le chassis a été conçu de la sorte. Les LiPo peuvent rentrer à condition d’avoir la forme adéquate mais ce n’est pas vraiment donné.
Les roues.
Pour reproduire la voiture dont je m’inspire, il me fallait des jantes imitant les mythiques RS Watanabe, ou quelque chose d’approchant. Elles proviennent de chez Yokomo et de chez Speedworks pour le Drift. Quant aux pneus « Rally Block », ils sont de chez Tamiya.
Après essai, j’ai finalement monté mon chassis avec les jantes Yokomo pour leur déport (+ 4mm). Les Speedworks affleurent les ailes de la carrosserie (+ 5 mm).
La carrosserie.
Comme vous l’aurez vu, c’est sur la Datsun 240Z que j’ai jeté mon dévolu. Je l’ai reçu avant mon chassis, et vous savez pourquoi.
Passons à la phase de peinture où, pour une fois, je ne vais pas peindre par l’intérieur mais par l’extérieur. Le dessous sera peint en couleur cuivre, quand l’extérieur aura une première couche de blanc, puis de gris aluminium et enfin la couleur rouge métallisée et rouge translucide. La teinte finale n'aura rien à voir avec celle de la voiture inspiratrice mais je préfère ma "Z" dans cette couleur-là .
Les autocollants représentant les contours chromés des vitres ont été découpés pour retirer la partie teintée en noir des fenêtres latérales et la lunette arrière. En faisant ainsi, on peut alors apercevoir l’habitacle et son pilote. J’ai personnalisé la plaque d’immatriculation avec la planche conçue pour les Tamtech Gear au 1/14ème.
La finition. The Tony Truand’s Touch !
L’achèvement de mon TB01 se termine par l’habitacle et quelques détails esthétiques supplémentaires. Concernant le pilote, j’ai choisi un casque intégral à visière fermée, mais en modifiant la forme de la visière à coup de mastic de modélisme Tamiya (le fameux Putter gris). Je vous laisse deviner le nom du pilote…
Sachez que je vais bientôt changer d'habitacle pour un modèle dont le volant sera à droite. La raison est que les essuie-glaces fournis dans la planche d'autocollants sont des modèles prévus pour les conduites à droite. A moins d'avoir les mêmes autocollants dans l'autre sens, je ne vois pas comment faire autrement ?
Sous la carrosserie, j’ai fabriqué une coque en carte plastique pour dévier les projections en dehors du chassis. Cela rajoute un peu de poids, mais aussi un peu de réalisme au modèle notamment lors des prises de photos en statique. Après quoi, j'ai repeint en noir mat l'ensemble à l'aide d'un pinceau.
Enfin pour couronner le tout, la cerise sur le gâteau, des bavettes de roues ont été découpées dans un échantillon de matière souple appelée « géomembrane EPDM PRELASTI » de chez Cultisol.