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par Tony Truand »
Quand Jean Alesi était chez Ferrari, ce n'était pas tous les jours facile pour lui. Le moteur qui cassait effectivement, quand ce n'était pas la voiture qui ne voulait plus avancer (GP d'Imola en 93, je crois bien), des prises de bec avec Jean Todt à ses débuts chez Ferrari. C'est facile de le critiquer, mais il faut voir le coup de volant qu'il a avant de juger trop hâtivement. Et surtout, qui dit que l'on peut faire mieux ?
Pour moi, il fait parti des grands pilotes de la génération d'Ayrton Senna et d'Alain Prost, même s'il n'aura enregistré qu'une seule victoire en F1 (GP du Canada 95). Fin du HS.