Tamiya : The Grasshopper
Tamiya : The Grasshopper
Papy fait de la resistance !
En ces temps modernes où la technologie a fait place à des buggys au design agressif, et manquant de piment, le grasshopper fait figure de "trottinette à roulettes" de part ses formes et conception.
Nombre d'entre-nous sont entrés dans le modélisme RC avec cette machine accessible aux débutants, mais faisant référence dans le milieu des petits clubs régionaux. Bien souvent, nous avons monté pour parfaire nos talents de pilote un moteur bien plus puissant (type 540) que celui d'origine et avons pu ainsi tenter de conserver le ramage de la carrosserie dans un état correct.
Alors aujourd'hui, il est bien rare de trouver un Grasshopper de cette bonne époque à qui il ne manque rien. Car bien souvent le bitume garde encore les traces de plastique blanc de cet engin plus souvent sur le dos que sur les roues.
Châssis :
Le châssis de type baignoire est de conception très simple, ce qui lui garantit une solidité à toute épreuve grâce à ces nombreux renforts. Le châssis est d'un seul tenant avec le train avant et rien ne permet de les désolidariser. De plus, on constate d'une manière générale que l'emploi de plastiques est différent suivant la résistance imposée à certains organes. Comme la trappe d'accus qui se trouve sous le châssis que l'on tord et pousse légèrement. Elle permet l'insertion de celui-ci sur la longueur du châssis.
Marquage étonnant pour une société du soleil levant ! Normal le chassis provient d'un Academy Road Runner, copie du Grasshopper
Le train avant :
Les triangles en plastique souple, s'insèrent sur le train avant dans des demi-coquilles, puis une pièce s'ajoute pour maintenir les axes fermement. La souplesse des triangles autorise les chocs violents qui peuvent intervenir lors de réception de saut plus ou moins hasardeuse. Bien sûr, aucun réglage n'est possible à part celui de pincement du train avant qui s'opère par le serrage ou desserrage des biellettes de direction.
Les emplacements de fixation du pare-choc sont cassés net.
On remarque la fusée blanche et la fixation de l'axe par vis.
Le train arrière et sa transmission :
Voilà ce qui détermine entièrement le comportement de ce buggy. Le train arrière consiste en un pont arrière dont la fixation de l'axe est rigide. Il est indestructible pour peu qu'on l'équipe de roulement.
Le pont est formé à partir de deux carters et l'ensemble des pignions sont en plastique idem pour les planétaires du différentiel. Un ergot positionné au milieu de l'axe de rotation diminue son angle d'ouverture et favorise le montage des amortisseurs arrière.
Fixation du train arrière au châssis
La cascade de pignons et les axes droit et gauche du pont
Les bagues en plastique noir sont habillement remplacé par des roulements
Les amortisseurs :
Les amortisseurs arrière sont de conceptions ultras simplistes, ils sont constitués d'un ressort et d'une tige de guidage, ni plus ni moins. Aucune gaine en caoutchouc ne freine le coulissement de la tige dans le corps de l'amortisseur. Ils jouent un rôle important dans le côté sautilleur de l'engin. En comparaison, le Hornet quasiment équipé du même système de pont arrière et d'amortisseur à bain huile, est moins tourmenté lors d'escapade en tout terrain. Pour les amortisseurs avant, c'est le bras supérieur fixe qui assure le guidage de la tige d'amortisseur. L'épure des suspensions donne lieu à un fort pincement des roues avant lorsque les ressorts sont compressés.
Détails des amortisseurs arrière
L'installation électronique :
La première chose qui saute aux yeux, c'est le manque de place. Mais comment rentrer cet énorme récepteur vintage, le variateur mécanique son servos, un servos de direction, un pack d'accus moderne (plus long), un pack de réception pour la radio (système BEC inexistant), et un cordon adaptateur pour la prise d'accus ?
La notice paraît claire sur le dessin, mais en pratique... Le servos de direction doit être légèrement surélevé pour laisser passer le pack en dessous. Le récepteur contre les supports du variateur, le servos sur côté et le pack de réception bien en arrière.
Même avec un chausse-pied cela reste difficile !
Le moteur :
Nous avons à faire à un moteur du type 380, c'est à dire bien plus petit qu'un type 540, et surtout moins puissant. Cependant, il devrait assurer une autonomie du tonnerre avec son petit pinion.
Les pneus et jantes :
Les pneus avant sont à rainures et les arrières sont du type pelle. Parfait pour le sable de la plage. Les jantes sont en trois parties, fixées par des vis et écrous. Il est d'ailleurs assez difficile d'insérer la partie centrale dans le pneu.
Détail des pneus arrières et de leurs jantes
La carrosserie :
La carrosserie est en ABS, qu'il faut peindre en blanc si on veut lui assurer un aspect uniforme et lisse. D'une seule partie, il faut lui ajouter le pilote (Frank), les deux longues portées, les autocollants, puis peindre les détails. La carrosserie est maintenue au châssis, non pas par des clips, mais par quatre vis.
Les yeux rivés sur la piste !
L'essai :
Le buggy est enfin posé par terre, et dégage tout de suite un sentiment de "sympathie" de par sa petite taille. La carrosserie avec la décoration de boîte est vraiment très réussie, car assez coloré et l'on imagine très bien ce buggy prêt à partir pour une course dans le désert mexicain.
Pour parfaire, les tests, l'essai sera réalisé sur trois types de surface et avec le même type d'accus (3200 nimh)
Sur une piste en moquette :
J'ai pu réaliser cet essai lors d'un training de mon club. On constate de suite que le moteur n'est pas un foudre de guerre. La vitesse de pointe et très rapidement atteinte et les enchaînements de virages sont d'une simplicité évidente. On se prend tout de même au jeu de placer les roues avant sur les "vibreurs" grâce à une tenue de route correcte sur ce type de surface.
Cependant, j'ai rencontré un souci lorsque j'ai voulu m'arrêter, le variateur mécanique de la voiture refusant de revenir au neutre. Ayant roulé un moment sur la 3ème vitesse, la flèche s'est collée par le courant obligeant une réception de l'auto dans les mains, tel un joueur de rugby ! Ça m'apprendra à ne pas mettre de graisse sur les contacts
Sur l'herbe :
Malgré la prédominance dans le nom de ce buggy, c'est la surface à éviter même dans le cas où elle est coupée très court. Le buggy sautille à n'en plus finir, entraînant une perte de vitesse importante. De plus, la puissance du petit moteur ne le favorise guère durant cet exercice. J'ai abandonné rapidement les figures acrobatiques et autres cabrioles dans l'herbe pour essayer une autre surface.
Sur la terre :
C'est sur cette surface que le plaisir de piloter ce buggy s'exprime le mieux. J'entends par là , sur une surface plutôt poussiéreuse et pas trop accidentée, sinon c'est à nouveau ruade à tout vas. Le buggy et fortement survireur, le train arrière glisse brusquement et reste facilement redressable par un rapide contre-braquage. Bien que la puissance du moteur soit modeste, le buggy peut déraper jusqu'à former des ronds sur le sol. C'est très amusant pour un débutant de voir s'animer le buggy de cette manière.
On comprend vite lors des essais que le Grasshopper n'est pas une bête de compétition, mais est-ce bien sa vocation ? Je pense bien sûr que non, j'ai plutôt pris plaisir à le voir évoluer et se dandiner perché sur ses quatre ressorts. J'ai compté sur sa robustesse lors de réception de saut ou lors de choc avec d'autres véhicules. Bien que l'on puisse changer le moteur par un Type 540, je pense que ce n'est pas préférable dans l'optique de conserver ce buggy vintage en bon état.
Gaz jusqu'Ã l'horizon.
Les Plus :
- Robustesse du châssis
- L'autonomie
- Le look "vrai buggy"
- Le retour aux sources
Les moins :
- Amortisseurs (simple ressort)
- Puissance du Moteur
- Train arrière plus souvent en l'air que sur le sol
En ces temps modernes où la technologie a fait place à des buggys au design agressif, et manquant de piment, le grasshopper fait figure de "trottinette à roulettes" de part ses formes et conception.
Nombre d'entre-nous sont entrés dans le modélisme RC avec cette machine accessible aux débutants, mais faisant référence dans le milieu des petits clubs régionaux. Bien souvent, nous avons monté pour parfaire nos talents de pilote un moteur bien plus puissant (type 540) que celui d'origine et avons pu ainsi tenter de conserver le ramage de la carrosserie dans un état correct.
Alors aujourd'hui, il est bien rare de trouver un Grasshopper de cette bonne époque à qui il ne manque rien. Car bien souvent le bitume garde encore les traces de plastique blanc de cet engin plus souvent sur le dos que sur les roues.
Châssis :
Le châssis de type baignoire est de conception très simple, ce qui lui garantit une solidité à toute épreuve grâce à ces nombreux renforts. Le châssis est d'un seul tenant avec le train avant et rien ne permet de les désolidariser. De plus, on constate d'une manière générale que l'emploi de plastiques est différent suivant la résistance imposée à certains organes. Comme la trappe d'accus qui se trouve sous le châssis que l'on tord et pousse légèrement. Elle permet l'insertion de celui-ci sur la longueur du châssis.
Marquage étonnant pour une société du soleil levant ! Normal le chassis provient d'un Academy Road Runner, copie du Grasshopper
Le train avant :
Les triangles en plastique souple, s'insèrent sur le train avant dans des demi-coquilles, puis une pièce s'ajoute pour maintenir les axes fermement. La souplesse des triangles autorise les chocs violents qui peuvent intervenir lors de réception de saut plus ou moins hasardeuse. Bien sûr, aucun réglage n'est possible à part celui de pincement du train avant qui s'opère par le serrage ou desserrage des biellettes de direction.
Les emplacements de fixation du pare-choc sont cassés net.
On remarque la fusée blanche et la fixation de l'axe par vis.
Le train arrière et sa transmission :
Voilà ce qui détermine entièrement le comportement de ce buggy. Le train arrière consiste en un pont arrière dont la fixation de l'axe est rigide. Il est indestructible pour peu qu'on l'équipe de roulement.
Le pont est formé à partir de deux carters et l'ensemble des pignions sont en plastique idem pour les planétaires du différentiel. Un ergot positionné au milieu de l'axe de rotation diminue son angle d'ouverture et favorise le montage des amortisseurs arrière.
Fixation du train arrière au châssis
La cascade de pignons et les axes droit et gauche du pont
Les bagues en plastique noir sont habillement remplacé par des roulements
Les amortisseurs :
Les amortisseurs arrière sont de conceptions ultras simplistes, ils sont constitués d'un ressort et d'une tige de guidage, ni plus ni moins. Aucune gaine en caoutchouc ne freine le coulissement de la tige dans le corps de l'amortisseur. Ils jouent un rôle important dans le côté sautilleur de l'engin. En comparaison, le Hornet quasiment équipé du même système de pont arrière et d'amortisseur à bain huile, est moins tourmenté lors d'escapade en tout terrain. Pour les amortisseurs avant, c'est le bras supérieur fixe qui assure le guidage de la tige d'amortisseur. L'épure des suspensions donne lieu à un fort pincement des roues avant lorsque les ressorts sont compressés.
Détails des amortisseurs arrière
L'installation électronique :
La première chose qui saute aux yeux, c'est le manque de place. Mais comment rentrer cet énorme récepteur vintage, le variateur mécanique son servos, un servos de direction, un pack d'accus moderne (plus long), un pack de réception pour la radio (système BEC inexistant), et un cordon adaptateur pour la prise d'accus ?
La notice paraît claire sur le dessin, mais en pratique... Le servos de direction doit être légèrement surélevé pour laisser passer le pack en dessous. Le récepteur contre les supports du variateur, le servos sur côté et le pack de réception bien en arrière.
Même avec un chausse-pied cela reste difficile !
Le moteur :
Nous avons à faire à un moteur du type 380, c'est à dire bien plus petit qu'un type 540, et surtout moins puissant. Cependant, il devrait assurer une autonomie du tonnerre avec son petit pinion.
Les pneus et jantes :
Les pneus avant sont à rainures et les arrières sont du type pelle. Parfait pour le sable de la plage. Les jantes sont en trois parties, fixées par des vis et écrous. Il est d'ailleurs assez difficile d'insérer la partie centrale dans le pneu.
Détail des pneus arrières et de leurs jantes
La carrosserie :
La carrosserie est en ABS, qu'il faut peindre en blanc si on veut lui assurer un aspect uniforme et lisse. D'une seule partie, il faut lui ajouter le pilote (Frank), les deux longues portées, les autocollants, puis peindre les détails. La carrosserie est maintenue au châssis, non pas par des clips, mais par quatre vis.
Les yeux rivés sur la piste !
L'essai :
Le buggy est enfin posé par terre, et dégage tout de suite un sentiment de "sympathie" de par sa petite taille. La carrosserie avec la décoration de boîte est vraiment très réussie, car assez coloré et l'on imagine très bien ce buggy prêt à partir pour une course dans le désert mexicain.
Pour parfaire, les tests, l'essai sera réalisé sur trois types de surface et avec le même type d'accus (3200 nimh)
Sur une piste en moquette :
J'ai pu réaliser cet essai lors d'un training de mon club. On constate de suite que le moteur n'est pas un foudre de guerre. La vitesse de pointe et très rapidement atteinte et les enchaînements de virages sont d'une simplicité évidente. On se prend tout de même au jeu de placer les roues avant sur les "vibreurs" grâce à une tenue de route correcte sur ce type de surface.
Cependant, j'ai rencontré un souci lorsque j'ai voulu m'arrêter, le variateur mécanique de la voiture refusant de revenir au neutre. Ayant roulé un moment sur la 3ème vitesse, la flèche s'est collée par le courant obligeant une réception de l'auto dans les mains, tel un joueur de rugby ! Ça m'apprendra à ne pas mettre de graisse sur les contacts
Sur l'herbe :
Malgré la prédominance dans le nom de ce buggy, c'est la surface à éviter même dans le cas où elle est coupée très court. Le buggy sautille à n'en plus finir, entraînant une perte de vitesse importante. De plus, la puissance du petit moteur ne le favorise guère durant cet exercice. J'ai abandonné rapidement les figures acrobatiques et autres cabrioles dans l'herbe pour essayer une autre surface.
Sur la terre :
C'est sur cette surface que le plaisir de piloter ce buggy s'exprime le mieux. J'entends par là , sur une surface plutôt poussiéreuse et pas trop accidentée, sinon c'est à nouveau ruade à tout vas. Le buggy et fortement survireur, le train arrière glisse brusquement et reste facilement redressable par un rapide contre-braquage. Bien que la puissance du moteur soit modeste, le buggy peut déraper jusqu'à former des ronds sur le sol. C'est très amusant pour un débutant de voir s'animer le buggy de cette manière.
On comprend vite lors des essais que le Grasshopper n'est pas une bête de compétition, mais est-ce bien sa vocation ? Je pense bien sûr que non, j'ai plutôt pris plaisir à le voir évoluer et se dandiner perché sur ses quatre ressorts. J'ai compté sur sa robustesse lors de réception de saut ou lors de choc avec d'autres véhicules. Bien que l'on puisse changer le moteur par un Type 540, je pense que ce n'est pas préférable dans l'optique de conserver ce buggy vintage en bon état.
Gaz jusqu'Ã l'horizon.
Les Plus :
- Robustesse du châssis
- L'autonomie
- Le look "vrai buggy"
- Le retour aux sources
Les moins :
- Amortisseurs (simple ressort)
- Puissance du Moteur
- Train arrière plus souvent en l'air que sur le sol
Dernière modification par teamneogordini le 27 mai 2008, 19:28, modifié 3 fois.
-
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- Inscription : 20 mars 2008, 16:01
Re: Tamiya : The Grasshopper
Salut!
j'ai bien suivis ta disection du grasshopper...
j'ai recuperer un grasshopper speciale édition qui doit plus décliné de la 2eme version.
Le gros probleme que je rencontre est que les peneus (TRES LARGE) sont introuvable...
pourrait tu m'aider a trouver une référence quelque part pour en recommander...
car les mien sont Mort...
Merci!
j'ai bien suivis ta disection du grasshopper...
j'ai recuperer un grasshopper speciale édition qui doit plus décliné de la 2eme version.
Le gros probleme que je rencontre est que les peneus (TRES LARGE) sont introuvable...
pourrait tu m'aider a trouver une référence quelque part pour en recommander...
car les mien sont Mort...
Merci!
Re: Tamiya : The Grasshopper
Si je comprends bien ta question, tu dois etre en possession d'un Super Grasshopper 2
Si c'est bien le même que sur la photo, alors des pneus arrières de Hotshot feront l'affaire.
Ref : 9805111
Si c'est bien le même que sur la photo, alors des pneus arrières de Hotshot feront l'affaire.
Ref : 9805111
- tamiyavintage
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Re: Tamiya : The Grasshopper
Et vu que c'est un modèle re-releasé et que de temps en temps on en trouve en vintage sur ebay ou ici même,
je rapelle que pour moi le terrain idéal du grasshopper c'est LA PLAGE !
pourquoi ?
Le grasshopper et le Lunch Box ainsi que le Hornet et d'autres sont dotés d'un pont arrière rigide, je trouve que c'est ça le gros avantage !
C'est un systême quasi étanche et qui ne laisse pas entrer le sable, les cardans sont énormes, rigides et protégés !
Et en plus le Grass est peu cher et ne craint pas la rouille, il faut juste nettoyer les ressorts, et c'est des années de plaisir en vue.
Et on peut faire ça avec un Grass,
ça supporte des motorisations puissantes sans problêmes, le diff monté sur roulements et c'est d'une
fluidité parfaite !
J'ai un modèle "Vintage" et une réédition, à part quelques détails, il est dur de faire la différence !
Et un détail, pensez à peindre avant de poser les autocollants, ça claque encore plus !
Allez roulez !!
je rapelle que pour moi le terrain idéal du grasshopper c'est LA PLAGE !
pourquoi ?
Le grasshopper et le Lunch Box ainsi que le Hornet et d'autres sont dotés d'un pont arrière rigide, je trouve que c'est ça le gros avantage !
C'est un systême quasi étanche et qui ne laisse pas entrer le sable, les cardans sont énormes, rigides et protégés !
Et en plus le Grass est peu cher et ne craint pas la rouille, il faut juste nettoyer les ressorts, et c'est des années de plaisir en vue.
Et on peut faire ça avec un Grass,
ça supporte des motorisations puissantes sans problêmes, le diff monté sur roulements et c'est d'une
fluidité parfaite !
J'ai un modèle "Vintage" et une réédition, à part quelques détails, il est dur de faire la différence !
Et un détail, pensez à peindre avant de poser les autocollants, ça claque encore plus !
Allez roulez !!
- Kaminagayuchi
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- Localisation : Warszawa
Re: Tamiya : The Grasshopper
J'avais lu dans un vieux test de magazine que pour les 4x2, les pneus à pavé comme les Oval Block que tu montres étaient déconseillés à l'arrière. J'ai essayé sur mon Madcap et c'est vrai que ça part à gauche, à droite, mais l'auto a dû mal à rester dans l'axe, le train arrière lors de la réaccélération a tendance a chassé. Il est vrai aussi, que c'était sur une piste très glissante. Tu n'as pas rencontré le même souci ?teamneogordini a écrit :Si je comprends bien ta question, tu dois etre en possession d'un Super Grasshopper 2
Si c'est bien le même que sur la photo, alors des pneus arrières de Hotshot feront l'affaire.
Ref : 9805111
Re: Tamiya : The Grasshopper
En faite, je les ai sur un hotshot, niveau tenu de route c'est tout de même mieux.
J'ai surtout proposé ces pneu car c'était des options d'époques. Mais il est vrai que niveau tendresse de la gomme :roll: ... bien que ceux des re-release soit plus tendre.
Sur mes grasshoper, j'ai les pneu d'origines avec les petites jantes.
Sinon pour améliorer le comportement on peut mettre le pneu que l'on trouve sur les Super Hornet, Astute, Egress, Manta Ray, Mad fighter...
Bref tout pneu qui ce monte sur des jantes 2 pouces
J'ai surtout proposé ces pneu car c'était des options d'époques. Mais il est vrai que niveau tendresse de la gomme :roll: ... bien que ceux des re-release soit plus tendre.
Sur mes grasshoper, j'ai les pneu d'origines avec les petites jantes.
Sinon pour améliorer le comportement on peut mettre le pneu que l'on trouve sur les Super Hornet, Astute, Egress, Manta Ray, Mad fighter...
Bref tout pneu qui ce monte sur des jantes 2 pouces
- Kaminagayuchi
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- Localisation : Warszawa
Re: Tamiya : The Grasshopper
Sur un Hot Shot, je ne doute pas de son efficacité, c'est sur les 4x2 que je m'interroge surtout que le Grassh', avec son train arrière mal amorti, a déjà des problèmes d'adhérence.
-
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Re: Tamiya : The Grasshopper
Salut tout le monde!
merci pour votre aide! Après de très longue recherche , le verdicte est qu'aparament j'ai un chassis de Grasshop' 2 mais montée avec des peneu de Mad Bull.
J'ai changer les amortisseur d'origine pour des plus dur, car la voiture avait tendance a peu toucher le sol.
Le melange des deux model est plutot sympas...
merci pour votre aide! Après de très longue recherche , le verdicte est qu'aparament j'ai un chassis de Grasshop' 2 mais montée avec des peneu de Mad Bull.
J'ai changer les amortisseur d'origine pour des plus dur, car la voiture avait tendance a peu toucher le sol.
Le melange des deux model est plutot sympas...
- Tony Truand
- Membre
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- Inscription : 22 mars 2008, 01:44
Re: Tamiya : The Grasshopper
Dans les points négatifs, communs avec le Hornet, la trappe de la batterie s'ouvre facilement après des sauts répétés. Ce problème a été résolu sur le Grasshopper 2 et le Super Hornet par l'adjonction de deux plots fermés par des épingles comme pour les carrosseries.
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- Messages : 3
- Inscription : 20 mars 2008, 16:01
Re: Tamiya : The Grasshopper
dites moi...
j'ai un variateur de vitesse mecanique...
j'ai crus comprendre que c'etais pas super si je voulais mettre un moteur plus puissant... car ca bouffe les contacte parait il...
c est possible de le changer avec un vario electronique?
comment on fait?
j'ai un variateur de vitesse mecanique...
j'ai crus comprendre que c'etais pas super si je voulais mettre un moteur plus puissant... car ca bouffe les contacte parait il...
c est possible de le changer avec un vario electronique?
comment on fait?